... cela remet bien en question des dogmes (car non vérifiés) de l'astrologie laïque areligere (dite traditionnelle).
En effet, et je lis cela dans le logiciel Orion, que les planètes transsaturniennes ont peu d'effets individuels mais surtout collectifs. La physique quantique va nous aider à démontrer le contraire et ce scientifiquement. L'effet papillon est un phénomène qui démontre mathématiquement que le battement d'aile d'un papillon à Paris peut provoquer pour effet de pression (et même si c'est minuscule) ... un orage à Tokyo !!! Ce qui est une décharge d'énergie énorme. Nous pouvons mettre cela en pratique en astrologie par l'analogie. Le déplacement même infinitésimal de Pluton peut avoir de grands effets et ce sur le plan individuel ou collectif (les 2 sont reliés). Ainsi il ne faut pas être "grosse", un "astéroïde" ou "lointain(e)" pour ne pas avoir d'effets conséquents, avoir une importance sur tous les plans.
Quand ma dulcinée est absente que ça soit à 10 kms de chez moi ou à 2000 kms, c'est la même chose: elle est absente. C'est pareil en astrologie : la distance n'a rien à voir avec les effets : l'effet n'a rien à voir avec la taille, l'importance, la distance d'un corps. La notion de proche-loin/absence-présence renvoie à la syzigie "Enfant-Vieillard" (Puer-Senex). Le Puer c'est la lune. Le Senex, c'est Saturne. Quand nous savons que l'astrologie dite traditionnelle est Capricorne uniquement (et non saturnienne) dans sa méthode et spiritualité, cet élément de "distance" et de "présence" le montre encore une fois.
Donc dans nos thèmes et lectures astrologiques, prenons les effets de Pluton, Uranus, Neptune aussi importants que les effets de la Lune ou du Soleil.
Bien à tous,
Alexandre